Read me.

Tu sais, c’est pas parce que je ne te l’ai jamais dis que je ne l’ai jamais pensé. Le but de notre relation c’était de s’aimer à perpétuité, de vivre dans l’interdit, tu aurais pu mourir pour moi et j’étais incapable de vivre sans toi. On était comme Bonnie ans Clyde ou comme Roméo et Juliette. Tu trouvais ça pathétique dit comme ça, les gros clichés amoureux. Pourtant on s’aimait comme eux, même peut être plus. Tu étais le grand brun ténébreux, rebelle mais refermé, moi la fausse blonde timide, rêvant de voyage et d’amour. Tu m’as prouvé que l’amour était le plus beau des voyages et tu as été le plus beau des partenaires. J’ai compris que la vie méritait d’être vécu avec envie et que nos rêves quel qu’ils soient peuvent se réaliser, tant qu’on n’y croit. Pourtant, on ne devait pas croire qu’ on allait vieillir et mourir ensemble car c’est toi qui est partit le premier. Tu as toujours étais le premier en tout, tu avaient toujours une longueur d’avance; tu as fumé avant tous le monde, tu as testé des drogues dures alors que personne n’imaginait l’effet que ça produisait, tu as volé mon cœur, tu es tombé amoureux alors que tes amis aimaient le sexe avant tout. Tu m’as tendu ta main, tu m’as sortis de ma prison dorée, tu étais ma drogue, mon oxygène, mon énergie, mon but dans la vie. Et tu es partie. Comme ça. Ton corps a volé et ton âme s’est envolé. Tu as quitté cette terre, en partant avec mon cœur et en me laissant vide, seule. L’amour de ma vie m’a quitté, il est mort. Mort renversé par une berline. Mort. Son âme inconsciente. Ses yeux fermés. Son corps éteint. Et mon âme déchirée. Mon cœur partit. Ma vie anéantit. Je t’ai aimé, tu as été l’homme de mes rêves, l’homme de ma vie. Mon seul et unique amour. Disparue à jamais.

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